Le Bocage - Journal du jardin


Carnet d'observations, d'expérimentations et de réflexions

dans le cours du jardinage d'un boisé en Haute-Amérique


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29 octobre 2006

Journée d'abattage

Temps neigeux, 2 °C.

Avant que les grands vents ne se lèvent, j'ai abattu plus d'une vingtaine d'arbres aujourd'hui : une moitié de jeunes, et l'autre de taille moyenne.

J'ai vérifié : une pruche pousse très bien au soleil. Le bouleau près de la grande pruche de L'Enceinte a donc été abattu.

Sur le plan d'assainissement initialement prévu, il ne reste que deux arbres à abattre : un arbre mort de taille moyenne en bordure de La Reposée et un gros érable malade faisant un bon 40 cm de diamètre, en face du Salon. Il est possible que j'identifie encore quelques autres arbres surnuméraires à abattre dès cet automne. Autrement, il est préférable d'attendre que les arbres se réappuient les cimes des uns sur celles des autres (protection contre le verglas et les grands vents).

J'ai aussi identifié un certain nombre d'emplacements qui devront être comblés pour que l'eau n'y affleure plus, mais demeure néanmoins sous la surface (pas question de drainer plus).

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28 octobre 2006

Première neige

Neige au sol. Temps pluvieux (max. 6 °C). Le terrain et les rigoles étaient gorgés d'eau.

Cela permet de constater l'emplacement des dernières dépressions où l'eau affleure encore. Et de confirmer que les bouts de rigoles près de l'escalier et dans La Reposée pourront être comblés.

Beaucoup d'eau dans les rigoles. Je comprends maintenant comment la glace peut, lorsque l'eau est haute, élargir certains espaces entre de grosses pierres apparemment indélogeables.

J'ai étrenné une nouvelle lame de sciotte spécialement conçue pour la coupe d'arbres et à pointe renforcée. Wow ! Cela travaille comme un charme. Absolument pas besoin de tronçonneuse mécanique. J'ai scié en buches les arbres déjà abattus et en ai fait tomber trois autres sur la bordure nord-ouest. Cela a dégagé la grande pruche de L'Enceinte. Il me reste à voir si j'abats aussi un jeune bouleau poussant tout près d'elle.

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Semences pour le printemps

Voici finalement mes semis pour le printemps 2007 :


Janvier-février
Pavot bleu d'Himalaya (Meconopsis betonicifolia) - Jardins de Métis.

Une folie apparamment, compte tenu des difficultés que cette plante est censée présenter. Pourtant, la moitié des semences posées en pastilles de tourbe gardé au frais dans une petite serre de rebord de fenêtre ont germé avec succès.


Février-mars
Ancolie (Aquilegia caerulea) 'Musik bleu&blanc' - Jardins de Métis
30% de germination des pastilles de tourbe dans petite serre sur plancher de la salle à manger

Barbe de bouc (Aruncus aethusifolius) - Jardins de Métis
En attente de germination

Barbe de bouc (Aruncus asiaticus) - Larochelle
En attente de germination

Bergenia (Bergenia cordifolia) - Horticlub
En attente de germination

Cimifuge (Cimifuga racemosa) - Larochelle
En attente de germination

Hosta (Hosta x hybrides) - Larochelle
En attente de germination

Impatiens (Impatiens auricoma) hyb. 'Jungle Gold' - Horticlub
En attente de germination

Tiarelle (Tiarella cordifolia) - Larochelle
En attente de germination

Tricyrtis (Tricyrtis latifolia) - Larochelle
100% de germination des pastilles de tourbe dans petite serre sur plancher de la salle à manger


Début avril


Printemps
Anconit commune (Aconitum napellus) - Horticlub

Astible (Astilbe thungergii) - Jardins de Métis
Herbes de Pampas (Cortaderia selloana) - Horticlub ou Thompson & Morgan
Lys martagon (Lilium martagon) - Larochelle
Sorgho (Sorghum) 'Colored Uprights' - Horticlub
Thym serpolet (Thymus serphyllum) - Larochelle

Semences considérées mais non acquises
Kalmia (Kalmia angustifolia) - Larochelle
Sorgho (Holcus sorghum) - Jardins du Grand-Portage

(message modifié 15 avril 2007)

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22 octobre 2006

Âme du jardin et approche systémique

Le texte qui suit reprend une intervention dans une
discussion sur l'agrandissement du jardin de Clovis qui a dérivé sur la question de « comment trouver l'âme du jardin ».


Clovis écrivait qu'une fois installés les arbres et arbustes ainsi que les autres éléments construits (murets, clôture, etc.), il lui faudra au moins cinq ans pour « trouver » l'âme du jardin. « C'est la partie la plus difficile », précise-t-il. « Trouver l'âme d'un jardin, est un procédé soustractif... »

La métaphore de la sculpture sur pierre est intéressante puisqu'elle insiste sur la soustraction. C'est précisément la principale manière par laquelle je peux transformer un petit bout de forêt en jardin, soit par soustraction. En effet, il me faut littéralement tailler dans une biomasse formant un bloc de 30 mètres de large, 25 de profond et 20 de haut. Soustractions massives au début. Cette année est la troisième du projet et pourtant j'aurai encore abattu une trentaine d'arbres d'ici Noël. L'an prochain, probablement encore une bonne quinzaine. Sur à peine plus de 800 mètres carrés, c'est considérable.

Cependant, la pierre est un volume, un bloc inanimé. Un jardin est plutôt un système, vivant en plus, et croissant par surcroit. L'ajustement et la stabilisation d'un tel système ne peuvent se faire avec un seul moyen, à savoir la soustraction (même si c'est celui qu'il faut privilégié comme le souligne Clovis). L'addition, la substitution, le déplacement sont aussi disponibles. Il me faut aussi les utiliser si je désire voir le boisé, non pas seulement s'éclaircir ici, prendre du volume là, offrir une perspective ailleurs, mais se transformer aussi en jardin.

Dans tous les cas pour trouver l'âme d'un jardin, il faut le fréquenter, l'habiter. Car un jardin n'est pas qu'un système biologique. C'est une relation entre un tel système et des êtres humains. Un jardin, c'est cette relation vécue par ces êtres humains.

À force de fréquenter son jardin (notre création en principe), celui-ci peut nous surprendre.

Par exemple, j'ai attendu un an et demi de fréquentation assidue de mon boisé avant d'en tracer et défricher le sentier. Le plan initial avait prévu un sentier en lasso. Le jour venu j'ai balisé un sentier beaucoup plus grand, plutôt en triangle. C'était comme si c'était le jardin qui avait décidé pour moi. Il fallait longer une éclaircie qui allait devenir Le Salon, longer de grosses pierres erratiques moussues, traverser un coin plus dense, passer devant un massif de fougères, etc.

Même chose pour les rigoles. Cela m'a pris trois étés pour en compléter le réseau. Car il me fallait procéder par étapes. Faire très attention à ne pas complètement bouleverser un milieu presque humide (d'où la nécessité pour moi de penser ici en système). Finalement, deux des cascatelles se sont retrouvées complètement ailleurs qu'où la pure déduction des dénivellations me les avait fait voir initialement. C'était comme si le sentier (ou plus précisément, l'audition et le regard humains passant par ce sentier) avait appelé ces deux cascatelles pour qu'elles se retrouvent juste de chaque côté de lui pour marquer une transition entre deux sections. Entretemps, le sort de deux petites sections de rigoles sera décidé l'été prochain. Probablement qu'elles disparaitront parce qu'elles semblent « ne pas avoir leur place ».

L'âme du jardin n'est évidemment pas dans le microcosme biologique comme tel. Il est dans le regard de la déesse ou du dieu qui le crée. D'où la notion d'amplification de la perception du jardinier à laquelle référait Clovis. Le regard créateur qui, familier de sa créature, en perçoit l'étincelle ou le potentiel de beauté et la met en valeur, en évidence, pour son propre regard et celui des autres qui viendront visiter.

La recherche de « l'âme du jardin » n’est donc rien de plus ou de moins que l'acte d'amour du regard créateur, et envers le jardin, et envers les autres qui l'admireront, et envers le regard créateur lui-même.

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21 octobre 2006

Congé du Bocage, visite au Jardin botanique

Fin de semaine en ville. Blonde, Maude et moi avons passé le samedi après-midi au Jardin botanique de Montréal.

J'ai pu identifié quelques plantes pour Le Bocage (liste et photos à venir).

Blonde a finalement fixé son choix sur le sorbier pour remplacer le pommetier chroniquement malade du parterre avant. Nous sommes tombé en pâmoison devant le sorbier d'Autriche (sorbus austriaca). On le dit cependant sensible à la brûlure bactérienne. Le sorbier de Russie (sorbus aucuparia 'Rossica') est disponible localement, mais les sources se contredisent sur sa sensibilité ou non à la brûlure bactérienne. À creuser.

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15 octobre 2006

Grésil et débitage

Temps variables, alternant entre soleil et averses de grésil.

Deux heures de débitage des arbres abattus précédemment sur la bordure au nord-ouest de l'Enceinte. Je m'étonne de la vitesse avec laquelle on peut débiter, à la sciotte, tronc et branches en buches pour foyer (même si ma lame de sciotte n'est pas adéquate pour les diamètres exédant 15 cm. - ce sera mon achat de la semaine). Si je maintiens le rythme de deux scéances de deux heures par fin de semaine, je pourrai aisément abattre et débiter la plupart des arbres morts, malades ou surnuméraires en moins de deux mois.

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14 octobre 2006

Installation d'un banc et pose de repères de sentier pour l'hiver

Aujourd'hui temps frais et pluvieux. Dégagement des rigoles des feuilles tombées. Ajout de terre et feuilles mortes sur les derniers harts rouges plantés autour de l'enceinte. Dépaquetage et montage dans Le Salon d'un banc de parc offert par mes parents pour mon anniversaire. Pose de rubans aux arbres pour marquer les sentiers afin de permettre la circulation dans Le Bocage durant l'hiver sans risque pour plantes basses et humains. Mise en terre en pépinière, mais en grand pot, de deux plants de sureaux racemosa « Sutherland Gold » obtenus d'Horticlub en septembre que j'avais gardés au soleil jusqu'à aujourd'hui, veille d'une nuit sous zéro.

Je constate que le ciment acrylique posé la fin de semaine dernière sur les gouttières n'a pas tenu (pas eu le temps de sécher). Il faudra procéder avec du ciment Portland ordinaire lorsque le temps sera plus sec.

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09 octobre 2006

Phénologie locale de l'automne

Observations pour l'automne 2006

Ne pouvant faire d'observations quotidiennes, celles présentées ici portent sur de plus longues périodes d'une dizaine de jours. D'après les météorologues, l'automne serait arrivé cette année quelque deux à trois semaines plus tôt qu'habituellement, soit à la fin d'août chez nous. Septembre a été un peu sec ; octobre très pluvieux.

En fait, l'automne commence lorsque les maxima passent de manière durable sous la barre des 22-23 °C et se termine, soit aux premières neiges durables au sol, soit lorsque les maximas passent de manière durable sous zéro.



Début-septembre : Les arbres ont commencé à perdre leur verdeur.


Mi-septembre : Les arbres jaunissent, les trilles rouges perdent leurs tiges.


Fin-septembre : Summum des couleurs des arbres.


Début-octobre : Plus de la moitié des feuilles des arbres sont tombées. On voit donc à travers Le Bocage. Le feuillage des arbustes commencent à peine à perdre leur verdeur (à part les différents cornouillers qui sont encore magnifiques). Premier gel au sol : plusieurs fougères, mais pas toutes, se sont flétries ; les autres vivaces gardent la forme.


Mi-octobre : Second gel au sol ; seulement quelques arbres ont encore leurs feuilles, dont l'encore jeune chêne rouge aux feuillages d'un beau brun rougeâtre, ainsi que les tilleuls, encore les seuls à être verts avec les sapins baumiers et les pruches ; on voit donc désormais totalement à travers Le Bocage ; le feuillage de la plupart des arbustes et les vivaces gardent leurs formes estivales à part les harts rouges qui rougissent, les sureaux rouges qui tournent vers le jaune, le fusain vers le rose et les physocarpes pourpres, dont la couleur devient plus sombre et profonde.

Première nuit sous zéro : matin du 15 octobre, - 2 °C



Fin octobre : Désormais, la moyenne des températures quotidiennes est résolument passée sous la barre des 5 °C, ce qui veut dire zéro degré jours de croissance (chez plusieurs plantes la photosynthèse est stoppée sous 5 °C). Les feuillus sont presque nus à part la base des chênes rouges et des hêtres. Les arbustes aussi, sauf les sureaux dorés, les cornouillers à grappes, les viornes communes et les physocarpes diabolo qui sont encore bien fournis (et spectaculaires dans le cas des physocarpes). Les graminées, les malvas et quelques fougères sont encore en forme.

Deuxième nuit sous zéro : matin du 22 octobre, - 5 °C.

Troisième nuit sous zéro : matin du 27 octobre, - 4 °C.

Première neige au sol, mais sans gel : matin du 28 octobre.

Passage des minima sous zéro :Matins du 31 octobre au 5 novembre.


Début novembre : À partir du 5, les minima se sont maintenues au-dessus de zéro (et donc des moyennes saisonnières). Parmi les arbustres, il n'y a plus que les sureaux dorés et cornouillers à grappe portant des feuilles qui dépérissent. Plusieurs fougères (faudra bien que j'identifie lesquelles), les malvas, les myosotis et les aspérules ont maintenu la forme.

Quinze jours de douceur : Du 5 au 20 novembre, les minima se sont maintenus largement au-dessus de zéro.


Mi novembre : Sureaux et cornouillers ont perdu leurs feuilles. Situation inchangée pour plusieurs fougères, les myosotis et les aspérules qui gardent bonne mine. Le feuillage des malvas perd sa couleur.


Fin novembre : Situation inchangée pour les plantes. La surface la plus tranquille du bassin de décantation demeure maintenant gelée les jours où les minima se maintiennent sous les zéros.


1er décembre : Début de l'hiver avec une chute de neige glacée d'une dizaine de centimètres. Net passage des températures sous zéro. Seules quelques fougères (il me faudra bien identifier quelle espèce) émergent toutes vertes.


Bref, l'automne sera arrivé deux semaines en avance et se serait prolongé deux semaines de plus que les moyennes saisonnières.

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Transplantation du Trillum erectum sauvage

J'ai malheureusement attendu trop tard pour transplanter et regrouper la dizaine de trilles rouges (ou trilles dressés) poussant un peu partout dans Le Bocage. Avec les aménagements en cours, plusieurs se retrouvaient désormais en plein soleil, trop près d'une rigole, sous une surface de marche ou un bosquet. J'avais donc décidé de les transplanter en amont de la première cascatelle (celle sous le sentier au Sud).

Contrairement à d'autres bulbes, le trille garde son feuillage tout l'été afin de stocker l'énergie qui permettra sa floraison printanière. Il doit donc être transplanté à l'automne (à moins de pouvoir emporter une grosse motte de terre). En platebande jardinée, cela peut se faire n'importe quand. Ici en boisé cependant, la compétition racinaire est telle qu'extirper un bulbe est une opération délicate et risquée. C'est d'ailleurs tout autant difficile d'extirper une motte de terre. Il aurait donc fallu, soit marquer très précisément l'emplacement de la tige, soit effectuer la transplantation à la fin du mois d'aout au moment où les tiges sont encore bien attachées au bulbe. Or, ayant seulement marqué un périmètre autour de la tige, j'ai perdu l'emplacement exact de plusieurs bulbes dont la tige était tombée. Dans plusieurs cas, j'ai pu fouiller jusqu'au bulbe. Dans d'autres, non.

Me reste maintenant à attendre le printemps pour savoir si mes transplantations ont réussi.

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07 octobre 2006

Amélioration des cascatelles, entretien des rigoles et mesures en cas de sècheresse

Cet après-midi, j'ai ajouté des rebords de ciment acrylique sur les pierres servant de gouttières à trois cascatelles. En effet, avec le temps l'eau érode les bordures en limon, faisant que l'eau coule par les rebords des gouttières plutôt que le bout. Le ciment résistera nettement mieux à l'érosion.

À l'expérience, la pierre plate brute fait bien l'affaire comme gouttières glougloutantes. Peu importe l'importance du débit d'eau, leurs arêtes irrégulières provoquent suffisamment d'irrégularités pour provoquer des glouglous bien audibles.

Automne oblige, j'ai passé quelque temps au rituel du dégagement des feuilles des quelque 60 mètres de rigoles du Bocage. J'ai alors réalisé qu'on pouvait contrôler le débit avec des feuilles mortes. Cela pourrait m'être utile en période de sècheresse comme on en a connu durant l'été 2005. Lors que le sol et le lit des rigoles sont très secs, l'eau de pluie s'écoule très vite plutôt que de s'infiltrer. Outre le paillis du sol, des feuilles déposées dans les rigoles ralentiraient considérablement l'eau, qui s'infiltrerait plutôt que de s'écouler rapidement comme sur l'eau d'un canard.

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02 octobre 2006

Ouverture

Aujourd'hui, j'ouvre le journal du Bocage.

L'automne est bien engagé. Les arbres du Bocage sont bel et bien entrés dans la saisons des couleurs. Pas encore de gel cependant.

Cette fin de semaine, je n'ai travaillé que quelques heures au jardin. J'ai essentiellement nettoyé les rigoles (lignes brunes sur le plan) des feuilles mortes et entretenu les nouvelles sectionsde rigoles de cette année (les plus à l'est).

J'ai également abattu trois arbres près de L'Enceinte (l'espace en cercle dans le coin supérieur gauche du plan).

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01 octobre 2006

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photo M.-J. Musiol :  Je commence à peine à prendre des photos du jardin, de ses occupants et des environs.

Les albums sont donc encore minces, mais ils prendront du volume avec le temps. Promis.


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